Nîmes encastré dans le mur extérieur d'un immeuble (ancienne maison Boschier ?) portant le n° 8 de la rue de la Violette, à l’angle de la rue de l'Aspic
Nîmes, Gard
Nîmes Palais de Justice
Datation
Ier siècle, époque d'Auguste
Analyse
Emile Espérandieu
Fragment de frise parmi d'autres fragments représentant des aigles, tous décapités dans leur état actuel ; ils tenaient dans leur bec les extrémités d'une guirlande de feuilles de laurier à lemnisques flottants. La partie supérieure des ailes et la poitrine ont été martelés. Cette frise dans son ensemble, est l'une des plus belles qui existent.