Statue d'Apollon. François Lenormant y reconnaissait « le spécimen le plus parfait, connu jusqu'à ce jour, d'une école de sculpture dont les œuvres, très nettement caractérisées, ne se sont jusqu'à présent rencontrées qu'en Gaule, et qui y a certainement fleuri dans le Ier siècle de l'ère chrétienne ».