SculptuRo à la Conférence annuelle IIIF 2021

Le 24 juin 2021, dans le cadre de  la Session régionale IIIF France de la Conférence annuelle, nous avons été invités à présenter SculptuRo avec une communication intitulée : Plongée dans la sculpture romaine avec le IIIF, principalement axée sur l’intégration de ces standards et protocoles dans les interfaces utilisateurs. Dans cette plateforme où le visuel occupe une large place, le IIIF, au-delà de l’interopérabilité et de la facilité de gestion des images, permet de plonger au cœur de la sculpture pour envisager les moindres détails : traces d’outils, pli d’un vêtement, détail d’un attribut, traces de traitements de surface.

Vous pouvez retrouver cette communication en cliquant ici :

Présentation de SculptuRo à la Fête de la Science

Une première version de la plateforme SculptuRo a été présentée lors de la Fête de la Science, le samedi 12 octobre 2019, au Musée départemental Arles Antique, partenaire du projet. Installés au milieu des collections de statuaire antique, cette manifestation nous a permis de montrer les notices de la base de données et l’utilisation du standard IIIF (International Image Interoperability Framework) pour les illustrations .
Ce standard permet de proposer des zooms profonds dans les images pour observer un détail de la sculpture ou encore la finesse du travail du matériau. Il offre également la possibilité de comparer des sculptures provenant de plusieurs bases de données et de les annoter. Les visiteurs ont pu manipuler l’outil en réalisant une galerie virtuelle des empereurs romains.

Nouveautés 2018

En 2018, les bases NEsp et RBR font peau neuve avec le projet SculptuRo

Les bases NEsp et  RBR, mises en ligne, en libre accès, depuis 2006 font l’objet d’un nombre important de consultations. Des échanges avec les utilisateurs ont confirmé sa pleine utilité, en ce qu’elle répond aux besoins de la communauté scientifique et d’un public plus large. De plus, elle met à disposition des documents inédits dont la numérisation a permis la sauvegarde. Il s’agit des photographies prises par Émile Espérandieu pour la réalisation de son recueil, sur plaque de verre, un support qui se dégrade rapidement selon les conditions de conservation. La richesse du contenu est garantie par l’accord de partenariat entre le Centre Camille Jullian et l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres.

Depuis la mise en ligne,  la base n’a plus fait l’objet de développements informatiques. Le paysage de la recherche a changé, les pratiques dans les humanités numériques, les usages, ont évolué, rendant nécessaire la transformation de certains aspects ou fonctionnalités.

Alors que le nouveau site de présentation du projet est en ligne, que l’architecture de la base a été remaniée pour intégrer les problématiques récentes du domaine de recherche (présence de peinture, notion de remploi, prise en compte du contexte antique…), nous travaillons à la restructuration des interfaces et des fonctionnalités en ayant pour objectifs de favoriser un travail collaboratif, de s’appuyer sur des protocoles et standards qui assurent l’échange d’informations, de faciliter la recherche et optimiser les réponses à une requête de l’utilisateur.